Pas froid aux yeux !

S'aventurer hors saison

le coin des aventuriers

Ils disent que c'est folie de venir hors saison

Bienvenue voyageur·euse. Vous avez décidé de braver les tempêtes et les a priori pour vivre une expérience brute sur la Côte des Légendes, hors des sentiers battus de l’été. 

La période entre le miz du (mois noir = novembre) et le miz meurzh (mois de mars) reste un pas à franchir pour les vrais aventuriers qui ont soif de grands espaces et de tranquillité.

Mais, un doute vous assaille, n’est-ce pas fou de venir en bord de mer pendant que vos ami·e·s sont au ski ? Chèr·e voyageur·euse, nous allons vous ôter de ce doute en 7 points.

petit budget

Moins cher

Nous commençons par le plus important. Parlons argent. 

Ne tournons pas autour du pot, c’est l’avantage number 1 de venir se perdre dans nos contrées hors saison. Votre bourse s’en verra ravie de voir, qu’en choisissant cette période, vous bénéficiez des tarifs les plus bas de l’année !

Gîte de Meneham © Emmanuel Berthier
On trinque ? © Emmanuel Berthier

like a local

Plus authentique

Vivre une véritable expérience, comme celle que vivent les habitants à l’année. Aller faire ses courses au marché de Lesneven, s’arrêter à un café pour déguster une bière locale, ou s’imprégner des sonorités mystérieuses de la langue bretonne dans un pur Kafé Brezhoneg.

Y'a Quelqu'un ?

Plus calme

Moins de personnes et de bruit, plus d’embruns et d’oiseaux. 

Venir hors saison, c’est aussi vivre pleinement au rythme de la nature. Profiter de ce moment pour parfaire votre connaissance des plantes, des algues et pourquoi pas débuter une passion pour l’ornithologie ? Les oiseaux migrateurs sont nombreux sur la Côte des Légendes à cette période !

Ça donne envie ? © Emmanuel Berthier
Un coucher de soleil grandiose © Yann Gouez

Au pays du soleil couchant

Plus tôt

Quel malheur de devoir rester éveillé·e·s jusqu’à des heures tardives pour voir un coucher de soleil ! 

En hiver, nul besoin de patienter trop longtemps, le soleil nous offre son spectacle quotidien à des heures convenables !

Dehors !

Plus de sensations !

Vous n’êtes pas là pour apprendre à faire du crochet, même si c’est tentant, mais pour braver l’eau et le vent.

Nous ne sommes pas là pour vous mentir, oui, l’eau est froide. Vous pouvez la goûter tel quel ou vous munir d’une combinaison 4 mm pour en profiter. 

Un brave nageur © Colin Le Roy
Un plat léger

winter body

Plus gourmand

Connaissez-vous le kig ha farz ? Ce plat roboratif du nord Finistère se compose de viande, de légumes et, petite particularité locale qui fait pâlir le classique pot-au-feu, de farz noir. C’est une semoule de blé noir qui s’imprègne à ravir de sauce lipig qui réhausse le tout.

Option avec du poisson et végétarienne possible !

Vous ne vous imaginez pas déguster ce met typique en été quand même ? 

Se faire plaisir

Si le kig ha farz ne vous tente pas, ou que vous souhaitez manger autre chose pendant votre séjour, nous avons la chance d’avoir des restaurateurs créatifs sur la Côte des Légendes !

D’ailleurs ! La saison propice aux coquillages comme les huîtres, les coquilles Saint-Jacques ou autre rigadelles, c’est bien l’automne-hiver !

nous, chauvins ?

Plus beau

Voilà, on ne le dit certainement jamais assez, mais la Côte des Légendes est belle hors saison. Et pour vous le prouver nous avons fait venir le photographe Emmanuel Berthier pour la prendre sous toutes ses coutures ! Il a réussi à capter ces couleurs et lumières visibles seulement hors-saison.

Un très beau point de vue © Emmanuel Berthier

point météorologique

Et... s'il pleut ?

Nous sommes ravis que vous nous posiez la question. En effet, c’est le risque encouru à venir hors saison en Bretagne. Mais, quitte à choisir, il est préférable d’assister au mauvais temps hors saison ! Au moment où les éléments naturels s’expriment avec force et passion, et viennent rythmer vos balades et vos découvertes enchantées.

De plus, l’hiver ici est beaucoup plus doux que dans d’autres coins de France.

Bon allez… nous avons quand même concocté une autre page pour vous préparer à cela.

Emmanuel Berthier